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les rêves du chat noir

6 août 2012

rêve du 5 Août au 6 Août 2012

 

 

Mon grand père vient de mourir. Je vais à l'incinération. Comme dans les vraies cérémonies, on ne voit pas le cercueil entrer dans les flammes mais la scène est retransmise à l'aide de projecteurs vidéo numériques. Je vois le cercueil s'engouffrer dans un tunnel noir.  Sur un deuxième écran je vois une femme avec un tablier de boucher préparer des carpaccios. On suit ses mouvements en direct jusqu'à ce qu'elle passe la porte de la chambre froide. Elle porte un long plat en inox très brillant. Exactement le plat de service à poisson que mes parents eurent en cadeau de mariage. Des tranches de viandes, fines et rouge y étaient disposées harmonieusement. Il s'agissait de viande humaine. De mon grand père exactement. Une infirmière, qui était aussi l'hôtesse d'accueil du crématorium range ses fichiers. Je dis à la bouchère que je ne peux pas manger mon grand père (le film du cercueil passe en boucle sur les écran), que c'est immorale, c'est une question d'éthique. Elle répond que c'est une viande très fine et très bonne. D'une qualité exceptionnelle ajoute-t-elle. Je me tourne vers l'infermière et lui demande quant à la maladie de mon grand-père. Elle regarde la viande attentivement, maintenant les projecteurs retransmettent l'analyse de la viande par l'infermière qui "sait lire dans la viande". Elle dit que la viande est bonne malgré le cancer. Que je peux la manger sans craindre la transmission d'aucune maladie. Je goutte la viande, en effet, je n'ai jamais manger de meilleur viande . Les projecteurs diffusent mon image, je mange et je me vois manger mon grand père. Dehors un orage éclate, je me réveille.

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5 août 2012

rêve du 4 Août au 5 Août 2012

 

 

Je suis dans une maison où les escaliers ne vont nulle part. Au fur et à mesure que je monte les marches disparaissent sous mes pieds. Je tente de m'agripper aux murs, mais à chaque pas que je fais la pierre devient poussière. Il n'y a pas de plafond, les poutres sont apparentes sous les tuiles. A chacune des poutres sont pendus des chevaux morts à l'aide de cravates rouges à rayures bleues, un peu dans le style des uniformes d'écoliers anglais. Je ne veux pas monter mais je n'ai pas le choix. Je suis terrifier. Je me rends compte que je porte le même style de cravate mais la mienne est verte et jaunes. Je suis une écolière anglaise qui s'est échappée du pensionnat des nones. En bas de l'escalier mon père m'appelle et me crie qu'il n'ira pas voir la mère supérieur. Je relève la tête vers les chevaux et les cravates et je m'aperçois que se ne sont plus des chevaux mais des camarades d'écoles. Bien sûr ils ont des visages que je ne connais pas dans la vraie vie, mais dans mon rêve, il s'agit des trois filles les plus intelligentes de la classe, avec lesquelles je suis très amie. Je hurle, j'ai très peut et j'ai le vertige. Ma cravate me serre, je tente de l'enlever mais cela me fait perdre l'équilibre. Ne pouvant pus tenir je tombe. Comme lors de la fête foraine mon cœur reste accroché en haut. Je me réveille. Je vais boire un verre d'eau et me rendors aussi sec.

4 août 2012

rêve du 3 Août au 4 Août 2012

 

 

On est le premier mai, je suis avec mon colocataire, nous sommes en voiture. Il neige tellement que nous ne pouvons plus avancer. Pourtant nous avançons quand même. La voiture équipée de pneus hiver (en mai!) chasse et manque de s'encastrer dans la voiture de coté. Tout est gelé mais aucun de nous deux n'est, ni terrifié, ni paniqué. Soudain je suis dans ma chambre de petite fille et caché derrière le rideau rouge il y dieu qui me parle. Il me montre du doigt ma voiture garée dans l'allée de la maison de mes parents. Les pneus sont crevés. Je cherche dans le bottin ou acheter des pneus hankook pas cher parce que mon père qui avait travaillé dur chez Michelin ne voulait plus jamais entendre parlé de bidendum. Sur la table de la cuisine il y une carafe de vin. Ma mère en verse un peu dans un verre et le donne au chat noir qui miaulait sous la table.

Puis soudain je suis en promenade dans la campagne avec mon grand père. Il me dit "vient on va voir l'étang John". Il y avait deux étangs, l'un dont l'eau était noire et à la surface duquel flottait des feuilles de peuplier jaunies, le second Nommé John, avait des eaux claires et bleues comme les yeux de mon petit ami. Au moment ou je me réveille, je dis à voix haute: "John avec des ces eaux une clarté infinie."

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